L’hypothèse initiale est que l’accent mis au niveau sociétal sur l’importance de la transition écologique pourrait faire naître de nouveaux besoins en compétences, au-delà du champ des éco-activités.
Développant un questionnement en termes de transformation du travail, la recherche a mobilisé la notion "d’écologisation" entendue comme le processus de prise en compte des aspects de protection de l’environnement par les organisations, dans les pratiques professionnelles et ses impacts sur l’évolution des métiers.