Réalisée par Centre Inffo et le CSA, cette enquête mesure la perception qu’ont les actifs Français de la formation professionnelle et de l’orientation. C’est également l’occasion d’apprécier leur connaissance des différents dispositifs, ainsi que leurs projets de formation.
Le plan "1 jeune, 1 solution", doté d’une enveloppe de 6,5 milliards d’euros, présente les mesures pour accompagner les jeunes de 16-25 ans au sortir de la crise de la Covid-19, avec notamment une aide au recrutement de 4 000 euros pour tout jeune recruté entre août 2020 et janvier 2021.
La loi du 26 juillet 2019 « pour une école de la confiance » instaure le principe de formation obligatoire des 16-18 ans. Un rapport a été remis au Premier ministre afin d’identifier des pistes de mise en œuvre.
Une étude de l’Agefiph sur les pratiques et actions engagées en matière de formation à distance pour les personnes handicapées
Depuis 2005, l'effort de formation des entreprises européennes est en croissance et les pratiques se diversifient. Les entreprises françaises, initialement parmi les plus formatrices, font preuve d'une grande stabilité dans le temps, conservant un modèle prédominant fondé sur les cours et les stages.
Publié en avril 2021, ce bilan d’étape permet d’apprécier la déclinaison opérationnelle du PIC et de ses impacts en matière d’entrées en formation et d’emploi.
En Hauts-de-France, le taux d’emploi des lycéens professionnels est inférieur à la moyenne nationale. Il est relativement identique au national pour les apprentis.
La Caisse des dépôts et consignations dresse un premier bilan de l’application un an après son lancement.
De 2018 à 2022, l’État investira près de 15 milliards d’euros dans son plan d’investissement compétences. Il choisit ainsi de mettre l’accent sur les compétences qui « sont la meilleure garantie de l’autonomie et de la sécurité professionnelle ».
Un rapport tirant les enseignements de l’expérimentation lancée en 2015.
